Textes compile 11
Textes compile 11
Le Baïkal des méditations
Fa7M Fa7M
1. Voyage Je nage
Fam7 Fam7
Dans mon crâne Dans l'astrale
Mib7M Mib7M
Neuroplane Hospital
Lab7M Mib7M Lab7M Mib7M
Pour un lâcher prise Des moines ailés
Lab7M Mim7 Lam7 Mib7M Sol4 Sol7
De la matière grise Condors éthérés.
Refrain :
Do Mib Fa Sol
Sur le Baïkal des méditations
Do Mib Fa Sol
Je suis un fuyard en lévitation
Do Mib Fa Sol
Lumineuses limbes vers le grand rien
Do Mib Fa Sol
M'évaporent en brouillard himalayens.
Variation I :
Dom7 Rem7[Do] Solm7
A corps perdu, je brille en transcendance
Dom7 Rem7[Do] Solm7
Respiration lotus et bouche cousue
Dom7 Rem7[Do] Solm7
La poussière morphin' de l'insouciance
Dom7 Rem7[Do] Solm7
Tourbillonne aux chakras de la berlue.
2. Mirage Mouillage
Ou conscience En houblonne
Des essences J'infusionne
Clin du 3ème œil Des transes au jasmin
Ma carne s'effeuille. Des photons sereins.
Refrain :
Sur le Baïkal des méditations
Je suis un fuyard en lévitation
Lumineuses limbes vers le grand rien
M'évaporent en brouillard himalayens.
Variation I :
Soupirent les volutes orientales
Comme un faux chaman, un bonze amateur
Je dégaine ma glande pinéale
Chloroformés les anophèles peurs.
3. Rivage Voyage
Sans mémoire Dans mon astre
La mer noire Capodastre
Où des vagues muettes Sur le sol septième
Mentales conquêtes. Des proses ULM.
C'est l' bonheur
Sib7M[Fa] Solm Mib7M
1. Que l'on soit hermaphrodite
Fa Rem7
Et bien coureur de jupons
Mib Dom7
Performeur du mégalithe
Re74 Re7
Ou platonique étalon
Solm Dom7
Une garçonne à pelouse
Fa7 Sib7M
Athénien de chez Michou
Mi7dim Mib7M
Un agrégé de partouze
Re74 Re7
Ou un vertueux époux.
Refrain :
Sol Mib
Ce qui importe c'est l' bonheur
Re79 Solm Sib7M[Fa] Mib7M Sib7M[Fa]
Intérieur
2. Que l'on en ait plein les fouilles
Ou du vent dans le frigo
Une villa dans les Pouilles
Un carton dans près du métro
Que l'on croupisse à perpette
Ou au Plaza Athénée
Dans l'escarre de ses baskets
Dans le cuir de son coupé.
Refrain :
3. Que l'on soit star du cinoche
Ou dans un phare à Miquelon
Un éphèbe à la pistoche
Vieux croulant sous le litron
Être anonyme hermétique
Ou sa tronche sur Gala
Mouton noir à l'Olympique
Ou loup blanc à l'Olympia.
Refrain :
4. Que l'on soit un sénateur
Ou le pion de l'échiquier
Un apprenti dictateur
Ou un ermite au Tibet
Simple soldat de carrière
Ou emp'reur de galaxie
Un vagabond sans frontière
PDG world company.
Refrain :
Karma sûtra
Intro : Mim
1.
Mim
__Sur la route d'Allonnes
Le destin me talonne
Lam7 Sim7 Do7
C'est le karma sûtra
Lam7 Sim7 Mi Do7M/13[Mi]
Tuffeau et granite
Lam7 Sim7 Do7
Je connais le tantra
Lam7 Sim7 Mi
Quand mon cœur palpite
Refrain
Mim Re[Mi] Do7M[Si]
De toute éternité
Mim Re[Mi] Do7M
Les enfants de Brahma
Mim Re[Mi] Do7M[Si]
N'ont jamais peur de jouer
Mim Re[Mi] Do7M
Avec ceux de Shiva
2.
Sur la route d'Allonnes
Je t'entends qui fredonne
Voilà le nirvana
Auquel tu m'invites
Es-ce que tu tenteras
Qu'enfin je lévite
Refrain
Musical : Mim
3.
Sur la route d'Allonnes
Aux couleurs de l'automne
Qu'importe le chakra
Des amours maudites
Tu connais le tantra
De l'accord tacite
Refrain
Final : Mim Mi4sus Mim5# 3X
Mim
Paroles de Izanne
Texte 1992/2016 musique 1984 Le petit chanteur des rues.
Dom Sib[Do]
Il a la voix d’opéra
Dom
Et le corps aussi frêle
Rem[Do]
Qu’un étourneau qui a
Dom
L'estomac dans les s'melles.
Mib Do#[Mib]
Par sa guitare astiquée
Mib
Comme ses cordes vocales
Do#[Mib]
Y’a le souffle des prés
Mib
Qui balaie les rues sales.
Dom Rem[Do]
Quand il pleut d'la monnaie
Solm
C'est bon pour l'arrosoir
Rem7
Au bistrot, son palais,
Lab Sib Dom
Il va boire ses pourboires
Do#
Lubrifier ses mâchoires.
Mib Do#
Refrain : Le petit chanteur des rues
La7dim Sib7 Mib
Aux grands airs de malotru
Do#
Le petit chanteur des rues
Rem75b Sol7 Dom
N’a de pièce que sur son cul.
Sur sa tronch' de chérubin
Scintillent des yeux follets
Quand sa java soudain
Prend le cœur d’une poupée.
Dans sa tournée solitaire
y a des loups enragés
De sinistres émissaires
D'une armée d'affligés
Cabaret des courant d’air,
Tes mélodie mélos
Sont des trottoirs la chair
Sous les balcons bientôt
Retords aux trémolos.
Refrain :
Dans son cartable à musette
Y’a jamais d’gros bizness
Ell’ n’sera pas vedette
Cette gouaille à détresse.
Mais il s’en fou l’baladin
Du royaume des pavés
Est comme le vent serein
Qui sème la mélopée.
Bien vides seront les rues
Des offrandes musicales
Quand ils auront disparu
Les montreurs d'amygdales
Des radars à cigales.
Refrain :
Mon moineau.
Fa6 Do7M[Mi]
Toi, toi mon moineau
Rem79
Ma mie mondaine
Mim7
Crèves mes veines
Fa7M
De tes talons hauts
Lab7dim Fa6
A l'art cynique
Mi5# Mi7 Lam
Des dames de pique.
Moi, moi le corniaud
Ma vie bohème
Au vent j’essaime
Des longs glissandos
Sans plus-value
Pour les cocus.
Lam Mi75# Mi7
Lui, lui le taureau
La75# La7
Les couilles en or
Rem7 Sol7
Tweed en Libor
Do7M Fa7M[Do]
Sur les pectoraux
Sim75b Si7dim
Maître étalon
Mi Lam76
De chez Boucheron.
Toi, toi mon moineau
Précieuse épouse
Que maints jalousent
Quand sur mes tréteaux
Jolie félonne
Tu m'abandonnes
Moi, moi le crapaud
Quand je dégueule
De ma Seagull
Des dragons de mots
Je prince charmant
Mais tu n'entends
Lui, lui le tourteau
Dans son triplex
Il, sans complexe
Pille les Prado
Pour t'attirer
Dans son casier
3. Toi, toi mon moineau
Bobo volage
Mais gemmophage
Pour un bel anneau
Le doigt se goure
L'amour est sourd.
Aux vestiaires des illusions perdues
1. Do Mim[Si] Do7[Sib] Fa[La]
Sur la pelouse des dimanches
Lam Fa Si7dim Mim7
Des cris de l'enfance au ballon
Do Mim Sib6] La7 Rem Re4
Ça sentait l'soda, le camphre et la pervenche
Lam Mim[Sol]
Les grives contre les grillons
Fa Fa7M Sim75b Mim7 Do
C'étaient nos matchs au terrain vague des fictions
Do[Sib] Do[La] Do[Sol]
Refrain 1 :
Fa Do[Mi]
Aux vestiair's des illusions perdues
Solm[Re] Sib Lam
Mes crampons fendus
2.
Les figurines Panini
Et mon argent de poche hors jeu
Pour un Pelé, un Müller, un Platini
J'aurais vendu mon âme à dieu
J'étais champion du monde dans la rue morveux.
Refrain 2 :
Aux vestiaires des illusions perdues
Mon vieux short pendu
Variation
Lam Lam[Sol#]
Moi qui dribblais entre les brimades
Sol4 Sol7
Je rêvais de mystifier les stades
3.
J'ai passé ma vie sans maillot
À l'aile droite des coups francs
Incapable de feinter le libéro
J'avais le cuir d'un attaquant
Mais l'arbitre en aura décidé autrement.
Refrain 3 :
Aux vestiaires des illusions perdues
Le match suspendu
Faut pas s' parler à soi-même.
Mi Mi7
1. J’me parle tout seul des fois
La Do
Quand l’arc-en-ciel de Cupidon
Mi Mi7
N'a pas décocher sur mon toit
La Do
Son flash à griser les vieux cons
Re4 Re Sol
J’me parle tout seul d’ailleurs
Do Re4 Re
Quand sur mon steak sans artifice
Sol Sol7
J'épice mes mots de couleur
Do Re4 Re
J’ai mes cass'roles qui fleurissent
Mi Mi7
Je me récite en albatros
La Do
Ces quelques verres réfléchissants
Mi Mi7
D'absurdes sketchs à Devos
La Do
Et je me livre à mon toucan.
Sim Si11
Refrain : Faut pas s' parler à soi-même
Mi Re[Fa#]
Pour conjurer l’anathème
Sim Si11
Faut Pas s' mentir à l'intime
Mi Re[Fa#]
Pour enjamber les abîmes.
2. J’me parle tout seul des fois
De ma fenêtre sans amour
Je conchie les volets narquois
Des amants qui hantent mes faubourgs.
J’me parle tout seul d’ailleurs
Pour scier les barreaux du poète
Des escapades d'écarquilleur
Comme un schizophrène en goguette.
Je fais le tour de notre terre
Seul’ment en quatre vingt pensées
Ma folie, mon hélicoptère
Se font la belle sous ma dictée.
Refrain :
3. J’me parle tout seul des fois
Mimant un illustre pantin
Planté sur mes jambes de bois
Moi qui rêvais des grand chemins.
J’me parle tout seul d’ailleurs
Dans ces mélodies en mono
Qui vous transpercent le compteur
A se noyer dans son égo.
Cramé sur ma plage de lune
L'Icare des envolées lyriques
Je compte les bords, dune à dune
De mes espaces endémiques.
Refrain :
Juin 1984/ Décembre 2016 Le chien.
Sim Fa#m Sol7M
Refrain : Aussi clair que de l’eau de roche
Sim Mim6 Sim
Ce souvenir d’un ami proche
Si7 Do7M Do#m75b Fa#4 Fa#7
Qui s’est endormi à jamais.
C’est ce sanglot dans la prairie
Là, où t'aimais la balle qui rie
Les cieux s'ébrouent de lassitude.
Re Do#m7
1. Aussi dur que ta vieill' caboche
Do7M Sim7
Son pelage en moi s'effiloche
Do#7 Fa# Fa#7
Le temps des chiens n'est pas des hommes.
Re Do#m7
Où es-il en ce jour glacé
Do7M Sim7
A-t-il un coin de cheminée
Do#7 Fa# Fa#7
Chez son nouveau maître éternel.
Refrain :
2. Sur sa carpette aux yeux si doux
La tendresse lui enlevait son loup
Démasquant la bête à misère.
Au temps où les dents de sagesse
Ne croquent plus dans l'allégresse
Dernière croquettes et c'est topette.
Refrain :
Nathalie
La Do#m7
1. C'est un bel hameau tout amouraché
Re7M Mib7dim Mi
Pour mettre une cerise à mon carquois
La Do#m7
Un home léger comme une aquarelle
Re7M Mib7dim Mi
Sous mon archet ses hanches tarentelles
La Do#m7
Ses félins fredonnent la souris verte
Re7M Mib7dim Mi
Entre chats et chiendent, ses mains ouvertes
Do#m7 Fa#m7
Sous le saule rieur, parle Confucius
Mibm75b Re7M La[Do#] Sim La La7[Sol]
Legato de jasmin pour les sinus .
Refrain :
Re7M Sol[Si]
Nathalie crawle
Do#m7
Dans ses allées
Fa#m7 Sol7M
Baignées d'orchidées
Mim7
Un music-hall
Fa#m7
De boutons d'or
Do#m7 Sim74sus La5b7M
Qu'aubade déflore.
2. Péninsule dans la mer céréale
Havre de pies où patauge sans futal
Sous la constellation du sagittaire
Des faunes et des grillons sur mes jachères.
Je picore ses fruits roug's sur les braises
Framboises satinées, velours de fraise,
A faire perler des quasars de rosée
Sur ses cuisses de princesse des prés.
Refrain :
5. Des trolls jouent du trombone en pissenlit
Une oraison à la chlorophilie
Au jardin, elle coache les rainettes
Ses laitues et mes cheveux de poète.
Refrain :
Lalala......
La Sol[Si] Fa#m Re[Mi] Mi7
Les consciences modifiées.
D’avoir trempé leur langue dans la ciguë des zincs
Un chancre hallucinatoire leur a squatté les sens.
Aux acouphènes, ces cornes de brisants, elles trinquent.
Belles cigales du spleen, quand gargouille la panse
S'annoncent de périlleux tangages sur des vacances bouillantes
Bacchanales atrophiant la perception des évidences rances
Ces avaleurs d’alambic miséricordieux en soif violente
Suffoquent sous le sirocco de leur douce France.
Algues turquoises du sommeil paradoxal,
Nourritures aqueuses des fonds cosmiques les boulimisent.
Métamorphose du réel en délire monial,
Ce plongeon dans les sauces fermentées nomadise.
Elles grillent le plancher des vaches d’un acide baptismal.
Pissez la belle euphorie pour noyer votre analyse
L’arachnide attend son pic pour clôturer le bal
Et transmuter le magma fertile en banquise.
Musique 1995 texte 92 95 2016 Madame la folie.
Lam
De toutes tarentules
Fa7M
Qui hantent mes plafonds
Sim75b
Celle là, majuscule
La4 Lam
Me ronge le cordon
Madame à la dent dure
Fa7M
Et le venin facile
Sim75b
Pour vous mettre en pâture
La4 La
A l'ogre des asiles.
Fa#m Fa#m2[Fa]
Tout comme une sirène
La[Mi] Mim75b
Qui vous broie la névrose
Re7M Mib7dim
A grands coups de larsens
Mi7 La
Dans la nuit des psychoses
Fa7M Sol6
Elle vous éparpille
Lab7dimi Lam
Vos chagrins, vos coups d’foudre
Mib7dimi Mi7
La tête sous une aiguille
La4 Lam
D’une machine à coudre.
Lam Si7dim Do6 Mi
Refrain : Madame la folie
Sib Mi7
Vous m’aimez si souvent
Solm7 Rem7 Re[Mi] Mi
Que j’ai l’âme au couvent.
D’où peut-elle bien venir
Par le chaud, par l'effroi
Du ghetto des souv’nirs
Où pourri le minois,
Du pommier de l’amour
Où se pend le fidèle
Du néant quand les jours
Ont soufflé la chandelle.
Elle a le rouge à l’œil
Le regard de puisard
Qui fait de votre orgueil
Du bromure à queutard
Trépaner volontaire
J'ai perdu la boussole
Dans l'espoir délétère
Infusion d'camisole.
Refrain :
Musique 1983. La lumière des Sab's d’Olonne.
Texte.1995/2015
Solm Do7
Y’en a qui s’éclairent aux bougies
Solm Do7
Pour s'éclairer de saint-esprit
Lam7 Re79
Tous ces adeptes du seigneur
Solm7 Do7
Qui lav'nt leur linge au Sacré-Cœur
Lam7 Re74 Rem7
Ont la passion du sacrifice
Solm7 La4 La7
Pour un dealer de calice.
Re7M SolM
Pour les prom'sses d’un monde meilleur
Si7 Mim
Les enfants d'cure chantent en chœur
Re7M SolM Mim Mim[Re] Mim[Fa#]
Des litanies obscurantistes.
Mim La7 Lam
Toutes ces prières
Re7 Sol4 Sol
Ne valent guère
Do Lam75b
Plus qu’une sphère
Si7 Si7[La] Si7[Fa#]
Égarée dans un trou d'l'univers.
Refrain :
Mim La4 Lam
Rien n’vaut la lumière des Sab's D’Olonne
Re7 Sol4 Sol7M
Qui fait briller les seins des madones
Do Fa#m7 Si7
Sur les granits au poète.
Mim Mim[Re] Mim[Fa#]
Y’en a qui s'arrosent d’eau bénite
Font la charité hypocrite
Les burnes en croix, les yeux de chevrettes
Pour un gourou obsolète.
Dans le spectacle des églises
Y a la raison qui s'enlise
La liberté n’a pas d’messie
Les sermons sentent le ranci
Les ouailles offertes aux mangeurs d’âmes.
Toutes ces chimères
Ne valent guère
Plus qu'un mystère
Dans l'congélateur du presbytère.
Rien n’vaut la lumière des Sab's D’Olonne
Qui fait briller les seins des madones
Sur les granits au poète.
Rien n'vaut la lumière de Bételgeuse
Qui réchauffe les reins des baigneuses
Comme au paradis sur terre.
L'argent
Re Sol[Si] La[Do#] Re
1. L'argent, __ça brille dans les yeux de fer
Re Sol[Si] La[Do#] Re
Tout flouze, __qui aveugle les ministères
Sol7M Sol[La] Fa#m7
__Le processeur du pouvoir
Mim7 La7 Re
Des opiacés libellés en dollars
Re Sol[Si] La[Do#] Re
Le blé, __pour nous rouler dans la farine
Re Sol[Si] La[Do#] Re
D'oseille, __quelques hectares pour la tsarine
Sol7M Sol[La] Fa#m7
__Du maréchal jusqu'au bidasse
Mim7 La7 Sol7M[Si] Sibm65# La76 La7
Vois-tu la corruption n'a pas de classe
Rem Sib6 Do6 Rem
Hermès, __que de pleurs pour de la ferraille
Rem Sib6 Do6 Rem
Arès, l'or est la graine de mitraille
Sib6 Mib7M La7
J'entends d'ici la banque qui fait
Re Sol[Si] La[Do#] Re
Lalalalala lalalala lalalalalala
Re Sol[Si] La[Do#] Re
Lalalalala lalalala lalalalalala
2. L'aspine, dans l'amour ça sent le graillon
Le pèze, aussi lourd qu'un pet de Boucheron
Que vaut un amant sans pécunes
L'aphrodisiaque saveur de la thune
La fraîche, pour étancher la fièvre acheteuse
Du beurre, pour graisser les huiles dispendieuses
À pavaner dans la palaces
Gérer par des fonds de pensions rapaces.
Hermès, tu as vendu nos libertés
Arès, de Winchester le VRP
J'entends d'ici la Citie qui fait
Lalalalala lalalala lalalalala
Lalalalala lalalala lalalalala
3. Les ronds, de cuivre pour lady Windsor
L'osier, panier de crabes conquistadors
Ces privilèges d'être bien né
Les héritages sont une obscénité
Les briques, à bâtir des châteaux liquide
L'avoine, que bouffe les mules apatrides
Les traders qui gonflent leurs bulles
Ces milliardaires avec ou sans particules
Hermès, l'impéritie de la finance
Arès, le commerce de la souffrance
J'entends le bruit du krach qui fait
Lalalalala lalalala lalalalala
Lalalalala lalalala lalalalala
Zénitude
Intro : Re6 Lam749 Re6 Lam749
Re6 Do7M5b
1. __Juillet étend ses draps bleu
Mi74
Mandoline en montgolfière
Re6 Do7M5b
__Va tutoyer ___l'exosphère
Mi74
Sur des cantiques moelleux
Lam749
Zénitude
La69
Zénitude
Fa7M Mi
Zénitude
2. Sur les hauts plateaux de ouate
L'univers entier se tait
Motus aux remous si laids
La météo en savate.
Zénitude
Zénitude
Zénitude
Musical : Re6 Lam749 Re6 Lam749
1. Juillet étend ses draps bleu
Mandoline en montgolfière
Va tutoyer l'exosphère
Sur des cantiques moelleux
Zénitude
Zénitude
Zénitude
Les passions
Intro : Sim La#7dim Sol6 La7 Sim La#7dim Sol6 La7
Re Do
1. __Quand les jours sont dérisoires
Sol Sib
Elles sont nos exutoires
Fa
Tsunami de lyrisme
Sol Sol46
Dans le triste catéchisme
Sol Sol46
Monocorde
2. Quand le vers est dans bête
Comme le George de Sète
La bouilloire à beuglante
Stridule la déferlante
De chansons
Variation 1
Mib7M Do#7dim
__La levure des ardeurs
Dom7 Sim75b
__Est dans le croissant de lune
Sib7M La4 La7
De nos esprits voyageurs
Refrain :
Re Mim11
Les passions
Mim7 Re9[Fa#) Re7M9[Fa#]
__Pimentent nos cènes
Sol7M Sol7M9 La79b La7 Re[Fa#] Re Sol[La]
De divins blasphèmes
3. Quand le jeu est la dans poire
Et vous suce les dinars
Le jus de vos tripailles
Sur un carré de quincaille
On se brise
4. Quand la musique est un cloître
Dans nos pavillons douceâtre
Quelques forçats du son
Incubateur de frissons
Se consument
Variation 2
Les ouragans addictifs
Ébouriffent les cancans
Des marécages lascifs
Refrain :
Musical
5. Quand l'amour sort du goulag
La bedaine est une vague
Qui secoue la barrique
De vertiges archaïques
Et d'ivresse
Variation 3
Ces étreintes compulsives
Des désirs frénétiques
C'est la vie qui improvise
Refrain :
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